vendredi 15 décembre 2017
Isabelle
Isabelle, une fille ISCP, dans sa vie au quotidien.
J'ai sélectionné les extraits de ce reportage qui correspondent au témoignage de cette jeune fille, de ses parents, de ces médecins et de l'école. J'en ai retiré les récupérations idéologiques à propos du pseudogenre, et de fait, voilà un petit moment assez reposant à essayer de mieux connaître et comprendre les enfants ISCP.
Désolée, cette vidéo est en Anglais australien, elle n'est pas encore sous-titrée, cela viendra prochainement. C'est une vidéo que j'aime beaucoup, une famille simple sans toxicité aucune, une petite fille et sa soeur.
L'ISCP n'est pas si complexe et difficile que l'on veut bien la présenter.
Je voudrais que cette vidéo soit vue par les dirigeants de ce monde, à l'Est comme à l'Ouest, car ces enfants n'ont rien à voir avec l'idéologie du pseudogenre, et ne sont pas les pseudotrangenres qu'on voudrait qu'ils soient pour justifier une idéologie mortifère.
En retour, j'espère que chacun comprendra que ces enfants, comme tous les autres, doivent être protégées à la fois de ces idéologies de 'genre', mais aussi protégés des réactions que l'on veut exercer contre eux au nom de la lutte contre ces mêmes idéologies mortifères.
Ces enfants ne font pas partie de ces idéologies, bien au contraire, ils démontrent au quotidien qu'ils sont comme tout autre enfant, qui espère vivre heureux, au milieu d'un monde sain et respectant la Nature, humaine autant que celle de la création.
Ces enfants montrent que le pseudogenre n'a aucun fondement sociétal, ni psychologique, sans ces enfants dans leur amalgame féministe radical, qui nie la sexuation naturelle.
Ces enfants n'ont rien à voir avec la prétendue libération de la femme, qui nie la maternalité, nie la famille, la complémentarité des deux sexes dans l'altérité et le respect de la différence.
Si ces enfants montrent qu'ils sont profondément d'un sexe, c'est bien parce que le sexe est ancré en nous, de naissance et à vie.
Dans ce reportage, on sent bien que point n'est besoin de construire de grandes théories pour ces enfants si simples, qu'il parviennent à s'intégrer à l'école en tant qu'eux mêmes, à vivre leur propre vie comme tout enfant la vit, fier et sûr de sa sexuation.
Ce ne sont pas les enfants ISCP qui posent problème: Ce sont les lobbies du genre, avec leur idéologie malsaine et leurs étiquettes posées sur des enfants qui ne les demandent pas.
En retirant du témoignage, les réitérations de la journaliste, qui rapportait toujours la question à l'idéologie sociétale made in USA, j'ai ressenti aussitôt l'apaisement de ce reportage, débarrassé des 'trangender', des 'coming-out', des 'choix de 'genre', du recouvrement du vocabulaire très neutre des médecins, pour y superposer un ton idéologique militant, qui devient très courant dans les médias.
Ces enfants sont trop simples, ils sont banals, ils ne sont pas croustillants, alors les journalistes-militants, veillent à bien employer les termes vendeurs, tant à destination du public qui en est friand, que de leurs employeurs des médias mainstream.
Sans doute aussi, ces journalistes-femmes, sont des militantes de l'idéologie du pseudogenre, et elles essaient de faire assimiler au spectateur cette idéologie comme un fait acquis.
Elles sont alors les principales pourvoyeuses de l'amalgame de ces enfants, un amalgame honteux, inadmissible, qui tente de justifier ces idéologies imposées par leur minorité militante mortifère.
lundi 11 décembre 2017
L’ISCP N’EXISTE PAS
…Enfin c’est ce qu’en disent les
lobbies du pseudogenre, reconnaissant par là, que militants et sociologues
autorisés auprès du journal, le Nouvel Observateur, dans son blog, ne savent
absolument pas qui sont ces freluquets, qui osent être, si jeunes…ISCP.
Enfin, dit dans leur bouche, c’est une autre
musique multiphobique :
« En cette journée de lutte contre la
transphobie, …. Florence Bertocchio,
militante trans dans l’association nationale transgenre (ANT) et Arnaud Alessandrin,
sociologue à l’université de Bordeaux, reviennent sur la question des mineurs
trans, qu'ils estiment oubliés de la lutte contre la transphobie.
Jusqu’à très
récemment, nous ne connaissions que des transidentités adultes. La filmographie
sur le changement de genre a pourtant fini par compter quelques récits de
jeunes gens qui expriment un désir plus ou moins fort de changer de genre.
Parmi eux, nous pouvons citer "Ma vie en rose" (Berliner, 1997),
"Boys don’t cry" (Peirce, 1999) ou plus récemment "Tomboy"
(Sciamma, 2011).
Les "enfants au genre
créatif"
Combien sont-ils ? Nous l’ignorons. Notamment
car les dénombrer se heurte au problème de la définition. Que
compte-t-on ? Uniquement les mineurs qui désirent changer de sexe ?
Ou plus généralement celles et ceux qui ressentent ou expriment un sentiment
d’inadéquation avec le genre attendu, en fonction du sexe assigné à la
naissance ? Dans la
première interprétation, les cas restent aujourd’hui très peu nombreux, même
s’ils sont toutefois très urgents à prendre en compte et que l’on peut faire
l’hypothèse d’une augmentation des demandes au fur et à mesure d’une meilleure
acceptation et connaissance sociale de la transidentité. Dans la seconde
perspective, les cas sont beaucoup plus nombreux. Selon des études américaines, dans les
écoles primaires, plus de 5% d’une classe d’âge ne se reconnaîtrait pas stricto sensu dans les normes de
genres traditionnelles. Il ne s’agit
donc pas d’enfants qui demandent à changer de sexe, ni même d’enfants qui se
reconnaissent comme transidentitaires, mais plus globalement de "gender
creative kids",
d’enfants au genre créatif. »
Voilà comment sont traités les enfant ISCP par les lobbies : Ils n'y
connaissent rien, ils ne connaissent pas ces enfants, et on sent bien que ça
les dérange dans leur idéologie de choix de pseudogenre.
Que d'approximation dans cet article!....
"nous ne connaissions que les 'transidentités' adultes" : Bien, tous vos militants, ont été enfants, non? ils se sentaient comment ?, fille? garçon?
"nous ne connaissions que les 'transidentités' adultes" : Bien, tous vos militants, ont été enfants, non? ils se sentaient comment ?, fille? garçon?
l'ISCP c'est avant la naissance, et si la mémoire leur fait défaut,
c'est que cela ne les a pas marqué : Aucun n’est ISCP ! Tous les enfants ISCP le disent dès qu'ils
parlent.
"la filmographie..." ….Quoi ?! Il vous faut des films de fiction pour savoir que ça existe? J'étais allé voir la première de 'la vie en rose' en présence du réalisateur : C'est une fiction issue de l'a mouvance homosexuelle, comme pour 'Tomboy'.
Alors qu'il y a tant de témoignages réels dans le vrai monde ? … Ça fait pitié.
« des enfants au 'genre' créatif » , fait référence à une association lgbt et arc-en-ciel canadienne. Le moins qu'on puisse dire c'est que c'est une expression personnelle due à la vice-présidente, qui est maman d'une fille ISCP qu'elle admire comme créative. Alors on invente le « pseudo « gendercreative » on en fait même des statistiques, des études sociologiques, etc…. Bientôt à lgbtqi++, il faudra ajouter gc….
Quand cette société arrêtera-t-elle son délire ?
Les enfant ISCP ne sont pas créatifs de leur sexuation, ça leur tombe dessus et ils doivent vivre avec.
C’est stupéfiant et glaçant, ces gens qui admirent les enfants ISCP pour
leur ‘créativité’, alors que ceux-ci veulent juste vivre normalement et être ignorés...
Aveu, "les cas restent très peu nombreux" … Eh bien oui, UNE naissance sur 50.000, j'ai un chiffre , moi, c'est le nombre d'enfants néerlandais 'persistants ‘ qui reçoivent les bloquants pubertaires, à l'échelle de ce pays, sur 15 ans de suivi des enfants dans ce centre qui concentre toutes les consultations et la recherche pour les Pays-Bas.
Soit 16 enfants par an naissent ISCP en France.
Pas question d’y d'amalgamer les divers troubles de l'identité sexuée !
(Admirez le "stricto sensu"
américain) ..et puis c’est quoi ces ‘normes’ de pseudogenre ‘traditionnelles’ ?
En ce qui concerne le milieu scolaire, si la diagnostique médicale dynamique introduit une prise en charge médicale à l'école, les enfants ISCP que l'on parvient à désigner ainsi, ou par 'dysphorie de sexuation', ont droit à une prise en compte dans l'établissement, en coordination avec les demandes des parents.
Le changement de prénom est possible légalement , et quant aux toilettes... Elles correspondent
à ce qui a été convenu en équipe éducative sur rapport du médecin spécialiste,
qui suit l'enfant, et en rapport avec la réelle sexuation inverse de l'enfant,
c'est assez clair.
Une fille ISCP est prise en compte sur certificat médical et réunion de l’équipe éducative, pour informer le personnel et prendre les mesures adéquates comme pour tout handicap : Pas sociétal, le problème : Médical !
Une fille ISCP est prise en compte sur certificat médical et réunion de l’équipe éducative, pour informer le personnel et prendre les mesures adéquates comme pour tout handicap : Pas sociétal, le problème : Médical !
Et la première mesure serait d’expliquer à tout le monde ce qu’est l’ISCP !
Quand aux enfants en trouble de l’identité sexuée, ce ne sont pas des
mesures scolaires qui lui sont utiles, mais bien le suivi familial
psychothérapique, comme je l’explique par ailleurs.
La famille, constamment désinformée et hérissée à ces revendications
criardes vues à la télé, est à informer sérieusement, ça je sais faire aussi. Il
faut pouvoir dire non, aussi.
On ne peut pas laisser un enfant en trouble sans que l’enfant soit suivi en psychothérapie.
On ne peut pas laisser un enfant en trouble sans que l’enfant soit suivi en psychothérapie.
Il y a tellement d'amalgames avec l'homosexualité, que les parents ne
comprennent plus leur enfant, qui se sent souvent depuis tout petit enfermé
dans le silence et interdit de vie.
La question ce n'est pas de lutter contre une prétendue 'transphobie'
dans la famille, mais rétablir un dialogue, sur une base d'amour et de sécurité
affective.
Je travaille à ça aussi.
"rien n'est
prévu en France"…. Faux, quelques enfants, une dizaine, dans deux services
spécialisés parisiens publics, qui sont ISCP , reçoivent des bloquants
pubertaires.
Il y a nécessité vitale, de toute manière, de voir un psychologue de référence , local, en plus des consultations en hôpital public à Paris, le diagnostique spécialisé durant un ou deux ans, par principe souple, avant tout traitement , ce qui permet cette dynamique diagnostique, le diagnostic différentiel d’avec des troubles de l’identité sexuée, un suivi méticuleux, et cette fameuse autorisation, qui n’est pas nécessairement médicale, qui est le moment où l’enfant ISCP se sentira autorisé à vivre, tout simplement, de se vivre soi-même, dans son sexe cérébral, et ne plus jouer une comédie triste.
Il faut avoir à l'esprit qu'un suivi et un diagnostic précis sont
nécessaires avant tout traitement, c'est trop grave de risquer la vie de ces
enfants et leur destin futur : 4 enfants sur 5 qui consultent aux Pays-bas,
renoncent à ce parcours : Ils ne sont pas ISCP, c'est un trouble de l'identité
sexuée, et ces enfants peuvent être aidés par le suivi psychothérapique
familial, et n’ont pas vocation du tout à recevoir le traitement des enfants
ISCP.
Moyennant quoi, le diagnostique ISCP doit permettre à ces rares enfants ISCP de recevoir les traitements qui leur sont absolument nécessaires, c’est-à-dire, pouvoir vivre leur vie dans leur sexe cérébral de naissance, et réparer leur corps, pour vivre ensuite une vie très normale. Les parents et les médecins ou psychologues, ont pour rôle d'accompagner, pas d'encourager, ou agir selon des idéologies.
Il s’agit d’une question médicale et non sociétale, je l’ai dit.
En ce qui concerne l'état-civil, on ne peut pas accorder n'importe-quoi.
Ce qui est important pour un enfant, c'est d'être reconnu pour lui-même.
Ces histoires de papiers et de chirurgies sont uniquement des enjeux
adultes, car quand tout le monde est au courant de la situation, le groupe
protège ces enfants, et ce n'est pas un bout de papier qui est le plus gênant,
c'est la compréhension de tous, qui est essentielle.
Il suffit souvent que la photo soit à jour et corresponde à l'aspect de
l'enfant, sur la carte d'identité, le M ou le F, n'est même pas regardé.
Certains se trompent de bataille en amalgamant les enfants, en plaquant leurs
revendications de lobby sur des enfants qui ne leur demandent pas.
Et puis ces histoires de ‘toilettes’… Elles viennent en droite ligne des
revendications radicales d’outre-Atlantique : La question des « bathrooms » a enflé à cause même des lobbyistes, qui en ont fait
là-bas, un cheval de bataille, sauf qu’en France, on s’en fiche. Cela montre
bien à quel point il s’agit de stéréotypes, que l’on veut nous imposer, une
idéologie venue d’ailleurs, avec sa nov-langue et ses concepts tordus, ne
reposant sur aucune réalité.
J'espère que chacun prendra conscience que la discrimination et le
rejet, c’est bien dans cet article qu’on les ressent et qu’on en voit la racine.
Ces articles incompétents sont toujours
rédigés par les mêmes personnes, qui par leurs termes même, montrent leur
méconnaissance intime de ces enfants, les conceptualisent, les amalgament à une
idéologie politique, rétrograde et mortifère, en les fragilisant dans leur
milieu.
Ce vocabulaire lgbtqi++ est en lui-même phobique et discriminant, crée
des stéréotypes : Qu’est-ce qu’un ‘trans-identitaire’ un ‘genre-créatif’
(et puis on ne prend pas la peine de traduire ces stupidités d’outre
atlantique, normal…) un ‘mineur- trans’ un ‘trans-genre’…
Ainsi posées ces étiquettes totalement stéréotypées pour le coup, l’amalgame
au ‘groupe’ des persécutés peut commencer, le bal est ouvert, chacun a son costume,
son déguisement, son masque.
En réalité, ce type d’article est destiné à imposer un langage mortifère
qui fera passer des enfants discrets, pour les novateurs d’une société autodestructrice.
Sauf que ça fait flop : Les invités n’existent pas, les enfant ISCP
déclinent l’obligation, et ces gens mortifères ne savent pas voir des anges
dans leur enfer.
Effectivement ils n’ont que du film, du cinéma, de la fiction à nous
présenter, quelques pantins qu’ils agitent, pour faire croire à la réalité du
pseudogenre.
Parler des enfants ISCP, c’est autre-chose, c’est ce que je fais, et
modestement, c’est vraiment d’un autre niveau.
samedi 9 décembre 2017
La Force de la Nature
C'est un fait, on nous présente des concepts sans saveur, il faut
de notre côté des mets délicieux et naturels !
Un enfant étant soit fille,
soit garçon, je sais comment je me détermine depuis toujours, alors on peut me
critiquer, me bafouer, je resterai malgré tout, la petite fille que j'ai
toujours été !
C'est comme quand on dit
"La force de la Nature".... Personne ne peut changer ce que les
enfants ISCP sont, et je sais que plutôt mourir, OK, si je suis si mal faite,
je préfère la mort plutôt que mentir sur moi-même.
C'est bien pour ça que ces
enfants risquent la mort, si on ne peut les reconnaître : Vivre pour être soi
et ne pas être un monstre.
Cela explique que le
pseudogenre soit une abomination, car la sexuation est une immense force
naturelle, biologique, adaptative, et même les mammifères, qui pourtant ont
évolué séparément de nous, sans la parole, sans la conceptualisation par le
langage, répondent à ce sentiment d'être , ce système perceptif, qui permet à
une femelle d'être mère, de faire survivre ses petits, et au mâle, parfois et
pas toujours, de veiller à la structure de la survie du groupe, particulièrement
de veiller à la ‘tribu’ mère-enfants.
Je ne le redirai jamais assez,
ce qui justifie que la femme existe est le fait d'être adaptée à être mère. Pas
de porter son bébé neuf mois, mais bien de le faire survivre et se développer
harmonieusement, des années durant, pour le jeune humain, qui naît prématuré,
immature, et qui a à acquérir une somme jamais vue dans le règne animal, de
savoirs et de concepts, propulsés par la puissance du langage, baigné de
spiritualité.
La création mortifère
d'idéologies dogmatiques et obscurantistes, est le pseudogenre que je dénonce,
d'abord le ‘gender’ en tant que "sexe d'élevage", ensuite les ‘gender-studies’
, qui ont créé un monstre anti-maternel, qui soi-disant libérait la 'femme' de
sa condition de devoir porter la vie dans son ventre, et pour finir,
l'appropriation, dans les années 2000, par les mouvement homosexuels issus du
financement SIDA, des travestis et autres dits 'transsexuels', amalgamés à un
comportement sexuel, amalgamés à une soi-disant 'phobie' des gens se
revendiquant 'différents'.
En réalité, ces mouvements homosexuels se sont centrés sur le
comportement sexuel, sur ses risques, ses déviances, en amalgamant, en dévorant
tout mouvement qui pouvait venir grossir l'illusion de leur idéologie de la
phobie, et de la négation de la naturalité de la sexuation. Ici, je ne juge pas
les personnes homosexuelles, mais de puissants lobbies, et de faux
scientifiques, qui ont été outrageusement publiés en masse, traduits, comme le
sont les gender-studies, les thèses sociologiques, mises constamment en avant,
sans aucune base en matière de psychologie individuelle, comme un fait
sociétal, totalement disjoint de la réalité des sexes.
Le pseudogenre, est venu
amalgamer des vécus rares, de personnes suivies médicalement, en imposant à
priori le dogme de la liberté de 'choisir son sexe'.
Comme un faux printemps, le
pseudogenre a allumé des feux dans la nuit en les déclarant lumière
solaire, mais rien ne pousse, car au contraire, le dogme de l'abomination des
stéréotypes sexués, se heurte à la réalité naturelle et à la force de l'immense
majorité de la population, qui se sent sexuée de manière naturelle, et qui
refuse de se laisser englober dans ce dogme obscurantiste.
Il s'agit bien d'obscurantisme
et de dogme à propos de l'idéologie du pseudogenre, pas de progressisme.
Obscurantisme, car l'identité
sexuée, qui est le seul vocable appuyé scientifiquement à l'échelon individuel,
en matière de psychologie de l'enfant, est liée à la sexuation du cerveau
in-utero, et s'étaye dès la naissance jusqu’à environ trois ans pour la fille,
sur la personne identique, justement.
La petite fille se sent
identique à sa maman, le petit garçon se sent identique à son papa, nous
naissons structurellement sexués, et notre identité en est une conséquence.
Dogme, parce que cette
idéologie nocturne, on le voit, est destinée à détruire la femme en tant que
mère et à détruire la spiritualité, en luttant frontalement contre les
religions. Un dogme, contre d'autres dogmes. L'idéologie du pseudogenre entre
dans la Loi des Etats, et devient religion d'Etat, sans qu'il soit possible de
rétablir la réalité. Il est déjà prévu, au Canada, pour les services sociaux, de
retirer leur enfant, aux parents qui s'opposeront au pseudo-choix-de-genre de
cet enfant, la raison religieuse ne pourra être retenue.
On voit donc bien apparaître un dogme obscurantiste, qui fait
prendre des vessies pour des lanternes, éclairant la nuit dans laquelle on veut
nous plonger.
L’amalgame est présent dès les années 60. L’identité sexuée ne
dépend pas du ‘sexe d’élevage’ ou de ‘stéréotypes’ de ‘genre’.
L’idée que l’éducation serait uniquement comportementale, qu’elle
serait un dressage, est bien en parallèle avec cette idéologie politique du
pseudogenre. On voit bien, dans les politiques d’égalité filles-garçons, que la
méthode employée est comportementale : On réunit les enfants par petits
groupes et l’on fait une autocritique publique de son savoir d’enfant, quant à
l’idéologie que le dominant va présenter comme le savoir minimum sur la
pratique sexuelle, et sur ce pseudogenre, qui va venir tenter de rompre les
certitudes de l’enfant.
L’idéologie du pseudogenre, croit donc dresser les enfants,
corriger leur comportement, par des méthodes de manipulation mentale, en
inversant les croyances de l’enfant, en ‘déconstruisant’ ce qu’ils disent être
des stéréotypes, en réalité, les fondements de l’identité de l’enfant.
La méthode, je ne sais pas si vous vous en rendez compte, est apparentée
à une tentative de laver le cerveau, de faire ‘croire’ à un monde virtuel, où l’on
pourrait ainsi ‘changer de sexe’, y compris physiquement, et où à tout le
moins, on pourrait se détourner de la réalité corporelle et se choisir une
sorte d’avatar, comme d’ailleurs cela se fait déjà dans les jeux vidéos, où l’on
peut se créer un personnage de l’autres sexe, et partir ainsi travesti(e) sur
les réseaux en ligne, vivre une fausse vie (les feux allumés dans la nuit par
les lobbies du pseudogenre) avec bien entendu une perte du sens de la réalité,
qui se sent immédiatement dans le discours de ces jeunes, qui savent que leur
personnage n’est pas vrai, mais qui trouveront alors naturel de se choisir un ‘genre’
dans la vraie vie, à contre courant de leur identité sexuée, qui elle, est réelle,
et fixée pour la vie entière.
Je le dis très souvent, on devient femme et mère, parce qu’on est
née fille.
Jamais un garçon ne deviendra fille si son identité sexuée est d’être
garçon.
Les cas qui se présentent, sont, soit que le garçon est piétiné
psychologiquement dans son identité de garçon, pourtant bien réelle, et c’est
un trouble psychologique, soit que nous sommes en présence d’une fille bien
réelle de par la sexuation biologique de son cerveau, intersexuée en regard de
la présence de gonades masculines malgré tout bien réelles, ou même
corporellement intersexuées.
D’autres particularités existent, comme l’ISCP partielle des petites
filles, qui est biologique, et qui ne mène pas à un sentiment d’inversion de la
sexuation de l’identité, mais à un sentiment trouble de ne jamais être à sa
place.
Leur suivi est nécessairement médical, ces personnes ont le droit
d’être aidées, d’une manière ou d’une autre.
En aucun cas il ne s’agit d’un groupe sociétal lié au pseudogenre
. En aucun cas, il s’agit d’une communauté, et il ne s’agit pas d’en débattre
de manière sociétale.
Quand il s’agit d’une particularité de naissance ISCP (évitons de
dire ‘anomalie’, s’il vous plaît) qui est structurelle et biologique, il faut
accompagner ces enfants en réduisant leur handicap, ou accepter de les voir
mourir, parce que ces enfants ont leur identité sexuée fixe, c’est leur trésor,
inaliénable, quel que soit le dogme sociétal en vigueur. Ces enfants-là, comme
je l’ai exprimé en ouvrant ce texte, n’on aucun autre choix que d’être eux-mêmes,
ce qu’ils sont dans leur cerveau, ce que la Nature leur a donné, ce que Dieu a
fait. Il incombe à la communauté de les accueillir et soulager leur handicap.
Si j’insiste à propos des enfants ISCP sur leur risque de mourir,
c’est un peu comme l’oiseau en cage se laisse mourir.
Je sais que pour ceux qui ne vivent pas un tel dilemme, il est
difficile de se mettre à la place de ces jeunes enfants, qui dès sept à dix
ans, envisagent très sérieusement que leur seul choix et de ne pas vivre. Se
sentir totalement et exclusivement fille, par exemple, et voir la puberté
approcher, sentir que le corps, comme un cancer, prend le dessus sur soi, qui
on est, sincèrement et de manière indélébile, ça ne peut pas se vivre.
Désespérément, la plupart de ces enfants cherchent leur solution,
souvent l’auto-chirurgie, enfin une tentative de le faire, et comme c’est une
chose désespérée, la seule issue est la mort dans le silence et les larmes.
Les enfants ISCP sont à part, vraiment à part, et on ne peut pas
se permettre de les amalgamer à une idéologie de pseudogenre, où la sexuation
ne serait que culturelle, issue de stéréotypes, et que ces enfants seraient
dans un choix d’attitude, que le pseudogenre se choisirait, comme on enfilerait
un costume ou comme si ces enfants faisaient un gros caprice, ou se prendraient
pour l’autre sexe, comme un délirant se prendrait pour un lapin…
Les enfants ISCP n’ont rien à voir avec tout ça. Ils ne sont pas
des ‘pseudotransgenres’, on ne change pas de sexe, ni par les gonades, ni par
le cerveau.
Le terme ‘trans’ est aussi un fourre-tout conceptuel, un
obscurantisme de plus.
Ce terme laisse croire qu’on peut changer ou se situer dans une
dynamique d’entre deux, une sorte de mobilité du sexe, une mobilité assurément
rêvée.
Les personnes intersexuées le savent, les filles partiellement
ISCP le savent, il est très difficile de faire la paix avec soi-même, quand on
se sait ‘entre les deux’. Pas parce qu’on pourrait pencher du côté qu’on
choisirait, mais justement parce qu’on est pas dans le choix : Ces
personnes sont là dans la réalité de leur être, qui est d’être différent, pas
comme tout le monde, et de ne pas pouvoir choisir, ni d’être femme, ni d’être
homme, ni même de pouvoir mentaliser d’être entre les deux.
Etre seul de son espèce, ça n’est jamais facile, il faut trouver
son propre chemin, sa propre intelligence, sa propre façon d’être au monde,
sans modèle possible.
Ça, l’idéologie du pseudogenre n’en parle pas, n’est pas en état
de gommer la Nature, et même si c’était le cas, cela ne résoudrait pas la
situation de ces personnes. La plupart des personnes intersexuées s’intègreront
dans leur originalité à ce monde, tel qu’il est, sexué, chacun suivant son
chemin de manière originale, et c’est très bien ainsi. Dieu n’a pas créé l’humain
uniforme, et d’un autre point de vue, la Nature a fait chaque être différent.
Je pense qu’il ne faut pas avoir peur de s’affirmer comme on est,
avec ses originalités, sans en faire un plat. Il faut rester face aux autres
dans l’expression du réel, de la lumière du jour, de la beauté du monde, suivre
son chemin propre, et puis découvrir aussi que tout n’est pas sexué, que l’humanité
a en commun bien plus que ses différences.
Les enfants et les adultes ISCP n’ont pas ce souci : Ils
savent quel est leur sexe, celui de leur cerveau, et ça, depuis leur âge le
plus tendre.
Une fois leur sexe reconnu par leurs proches, la médecine, leur
corps réparé, leur naissance rétablie, ils vivent leur vie au soleil de la vie,
unifiés et entiers.
Le problème des enfants et jeunes adultes en trouble psychologique
de l’identité sexuée, j’insiste souvent pour qu’on prenne conscience, que ce
sont des enfants qui s’ils ne sont pas écoutés par des professionnels de la
santé, fourniront les candidats adultes au pseudotransgenre, et au syndrome de
transsexualisme, c’est-à-dire à la chimère de croire que l’on peut changer de
sexe.
Pour finir cet article, je rappelle quelques ordres de grandeur
statistiques : Les enfants ISCP, c’est environ 16 naissances par an en France,
une naissance sur 50.000.
Les enfants (essentiellement des garçons), en trouble
psychologique de l’identité sexuée, c’est environ quatre fois plus, mais c’est
un trouble encore plus fréquent à un degré moindre, que les psychologues
rencontrent souvent, et aider la maman suffit parfois à résoudre le trouble de
son garçon.
Les ISCP partielles des filles, on n’a pas de chiffres, parce que
ces filles ne se laissent pas compter, elles ne demandent rien à la médecine,
parfois elles consultent en tant que jeunes adultes, parfois elles s’intègrent
aux stéréotypes homosexuels, par exemple, se disent « bi-sexuelles »,
ce qui est aussi très caractéristique de leur besoin d’exister.
Il y a quelques éléments scientifiques qui tendent à montrer que
la masculinisation partielle du cerveau est liée au contact du bébé in-utero
avec des perturbateurs endocriniens ou des molécules qui imitent l’action des
hormones masculines, sans être neutralisées par la barrière faite aux
androgènes surrénaliens.
Encore une fois, même si ces jeunes femmes, le plus souvent, s’affirment
comme choisissant leur ‘genre’, elles sont en fait intersexuées ISCP, et elles
sont la proie des lobbies, amalgamées et étiquetées dans le bestiaire du
pseudogenre.
Le pseudogenre est un grand pourvoyeur d’étiquettes et de
contre-stéréotypes, il amalgame des gens qui n’ont rien à faire entre eux, et
les divise en catégories, liées à la sexualité et à ce fameux ‘choix’ de ce pseudogenre.
En réalité ces personnes sont toutes peu nombreuses, par rapport à
l’immense majorité de la population, et nombre des personnes concernées
refusent de se fondre dans ces lobbies.
Malgré tout, mondialement, le pseudogenre entre dans la Loi comme
une urgence, une priorité absolue : la misère, la famille, l’emploi, tout
passe au second plan, comme une ombre qui s’étend sur la planète entière, alors
que 98% de la population n’en a rien à faire. Ce sont nos enfants qui sont
visés, eux qu’on déconstruit, eux qu’on cherche à manipuler.
A côté de cela, dans un tout petit coin de la cour des enfants de
nos régions, un enfant ISCP ne sait pas s’il a le droit de vivre, et refuse que
l’on pense de lui ou elle , qu’il est un produit de cette idéologie du
pseudogenre.
Les ISCP n’existent pas, pour ainsi dire, mais on en parle
beaucoup sans rien savoir, mon but est précisément de vous enseigner cette
toute petite réalité sans la loupe médiatique.
Les enfant ISCP sont une naissance sur 50.000, mais on fait des
programmes dans les écoles, qui laisseraient à penser qu’ils sont la norme….
On n’aide pas, pendant ce temps, les enfants en trouble
psychologique de l’identité sexuée, puisque le pseudogenre « est un choix »
…. « Un droit » disent les pseudo « droits sexuels », que l’on
veut nous imposer par la force de la Loi.
Bien entendu, l’amalgame ambiant, même en matière de psychologues
et de psychiatres, ne fait aucune distinction entre enfants ISCP, troubles
psychologiques et masculinisations ISCP partielles de filles, et l’on trouve une
majorité de professionnels pour encenser le pseudogenre comme une vision
progressiste dépsychiatrisée et décomplexée.
C’est criminel, ou pas ? Cela donne encore beaucoup de chirurgies
inutiles et regrettées pour les adultes, et retarde la prise en charge des jeunes
enfants. Avec son lot d’énormes mal-être, de désociabilisations, qui amplifient
les revendications de ‘trans-phobie’
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