C'est un fait, on nous présente des concepts sans saveur, il faut
de notre côté des mets délicieux et naturels !
Un enfant étant soit fille,
soit garçon, je sais comment je me détermine depuis toujours, alors on peut me
critiquer, me bafouer, je resterai malgré tout, la petite fille que j'ai
toujours été !
C'est comme quand on dit
"La force de la Nature".... Personne ne peut changer ce que les
enfants ISCP sont, et je sais que plutôt mourir, OK, si je suis si mal faite,
je préfère la mort plutôt que mentir sur moi-même.
C'est bien pour ça que ces
enfants risquent la mort, si on ne peut les reconnaître : Vivre pour être soi
et ne pas être un monstre.
Cela explique que le
pseudogenre soit une abomination, car la sexuation est une immense force
naturelle, biologique, adaptative, et même les mammifères, qui pourtant ont
évolué séparément de nous, sans la parole, sans la conceptualisation par le
langage, répondent à ce sentiment d'être , ce système perceptif, qui permet à
une femelle d'être mère, de faire survivre ses petits, et au mâle, parfois et
pas toujours, de veiller à la structure de la survie du groupe, particulièrement
de veiller à la ‘tribu’ mère-enfants.
Je ne le redirai jamais assez,
ce qui justifie que la femme existe est le fait d'être adaptée à être mère. Pas
de porter son bébé neuf mois, mais bien de le faire survivre et se développer
harmonieusement, des années durant, pour le jeune humain, qui naît prématuré,
immature, et qui a à acquérir une somme jamais vue dans le règne animal, de
savoirs et de concepts, propulsés par la puissance du langage, baigné de
spiritualité.
La création mortifère
d'idéologies dogmatiques et obscurantistes, est le pseudogenre que je dénonce,
d'abord le ‘gender’ en tant que "sexe d'élevage", ensuite les ‘gender-studies’
, qui ont créé un monstre anti-maternel, qui soi-disant libérait la 'femme' de
sa condition de devoir porter la vie dans son ventre, et pour finir,
l'appropriation, dans les années 2000, par les mouvement homosexuels issus du
financement SIDA, des travestis et autres dits 'transsexuels', amalgamés à un
comportement sexuel, amalgamés à une soi-disant 'phobie' des gens se
revendiquant 'différents'.
En réalité, ces mouvements homosexuels se sont centrés sur le
comportement sexuel, sur ses risques, ses déviances, en amalgamant, en dévorant
tout mouvement qui pouvait venir grossir l'illusion de leur idéologie de la
phobie, et de la négation de la naturalité de la sexuation. Ici, je ne juge pas
les personnes homosexuelles, mais de puissants lobbies, et de faux
scientifiques, qui ont été outrageusement publiés en masse, traduits, comme le
sont les gender-studies, les thèses sociologiques, mises constamment en avant,
sans aucune base en matière de psychologie individuelle, comme un fait
sociétal, totalement disjoint de la réalité des sexes.
Le pseudogenre, est venu
amalgamer des vécus rares, de personnes suivies médicalement, en imposant à
priori le dogme de la liberté de 'choisir son sexe'.
Comme un faux printemps, le
pseudogenre a allumé des feux dans la nuit en les déclarant lumière
solaire, mais rien ne pousse, car au contraire, le dogme de l'abomination des
stéréotypes sexués, se heurte à la réalité naturelle et à la force de l'immense
majorité de la population, qui se sent sexuée de manière naturelle, et qui
refuse de se laisser englober dans ce dogme obscurantiste.
Il s'agit bien d'obscurantisme
et de dogme à propos de l'idéologie du pseudogenre, pas de progressisme.
Obscurantisme, car l'identité
sexuée, qui est le seul vocable appuyé scientifiquement à l'échelon individuel,
en matière de psychologie de l'enfant, est liée à la sexuation du cerveau
in-utero, et s'étaye dès la naissance jusqu’à environ trois ans pour la fille,
sur la personne identique, justement.
La petite fille se sent
identique à sa maman, le petit garçon se sent identique à son papa, nous
naissons structurellement sexués, et notre identité en est une conséquence.
Dogme, parce que cette
idéologie nocturne, on le voit, est destinée à détruire la femme en tant que
mère et à détruire la spiritualité, en luttant frontalement contre les
religions. Un dogme, contre d'autres dogmes. L'idéologie du pseudogenre entre
dans la Loi des Etats, et devient religion d'Etat, sans qu'il soit possible de
rétablir la réalité. Il est déjà prévu, au Canada, pour les services sociaux, de
retirer leur enfant, aux parents qui s'opposeront au pseudo-choix-de-genre de
cet enfant, la raison religieuse ne pourra être retenue.
On voit donc bien apparaître un dogme obscurantiste, qui fait
prendre des vessies pour des lanternes, éclairant la nuit dans laquelle on veut
nous plonger.
L’amalgame est présent dès les années 60. L’identité sexuée ne
dépend pas du ‘sexe d’élevage’ ou de ‘stéréotypes’ de ‘genre’.
L’idée que l’éducation serait uniquement comportementale, qu’elle
serait un dressage, est bien en parallèle avec cette idéologie politique du
pseudogenre. On voit bien, dans les politiques d’égalité filles-garçons, que la
méthode employée est comportementale : On réunit les enfants par petits
groupes et l’on fait une autocritique publique de son savoir d’enfant, quant à
l’idéologie que le dominant va présenter comme le savoir minimum sur la
pratique sexuelle, et sur ce pseudogenre, qui va venir tenter de rompre les
certitudes de l’enfant.
L’idéologie du pseudogenre, croit donc dresser les enfants,
corriger leur comportement, par des méthodes de manipulation mentale, en
inversant les croyances de l’enfant, en ‘déconstruisant’ ce qu’ils disent être
des stéréotypes, en réalité, les fondements de l’identité de l’enfant.
La méthode, je ne sais pas si vous vous en rendez compte, est apparentée
à une tentative de laver le cerveau, de faire ‘croire’ à un monde virtuel, où l’on
pourrait ainsi ‘changer de sexe’, y compris physiquement, et où à tout le
moins, on pourrait se détourner de la réalité corporelle et se choisir une
sorte d’avatar, comme d’ailleurs cela se fait déjà dans les jeux vidéos, où l’on
peut se créer un personnage de l’autres sexe, et partir ainsi travesti(e) sur
les réseaux en ligne, vivre une fausse vie (les feux allumés dans la nuit par
les lobbies du pseudogenre) avec bien entendu une perte du sens de la réalité,
qui se sent immédiatement dans le discours de ces jeunes, qui savent que leur
personnage n’est pas vrai, mais qui trouveront alors naturel de se choisir un ‘genre’
dans la vraie vie, à contre courant de leur identité sexuée, qui elle, est réelle,
et fixée pour la vie entière.
Je le dis très souvent, on devient femme et mère, parce qu’on est
née fille.
Jamais un garçon ne deviendra fille si son identité sexuée est d’être
garçon.
Les cas qui se présentent, sont, soit que le garçon est piétiné
psychologiquement dans son identité de garçon, pourtant bien réelle, et c’est
un trouble psychologique, soit que nous sommes en présence d’une fille bien
réelle de par la sexuation biologique de son cerveau, intersexuée en regard de
la présence de gonades masculines malgré tout bien réelles, ou même
corporellement intersexuées.
D’autres particularités existent, comme l’ISCP partielle des petites
filles, qui est biologique, et qui ne mène pas à un sentiment d’inversion de la
sexuation de l’identité, mais à un sentiment trouble de ne jamais être à sa
place.
Leur suivi est nécessairement médical, ces personnes ont le droit
d’être aidées, d’une manière ou d’une autre.
En aucun cas il ne s’agit d’un groupe sociétal lié au pseudogenre
. En aucun cas, il s’agit d’une communauté, et il ne s’agit pas d’en débattre
de manière sociétale.
Quand il s’agit d’une particularité de naissance ISCP (évitons de
dire ‘anomalie’, s’il vous plaît) qui est structurelle et biologique, il faut
accompagner ces enfants en réduisant leur handicap, ou accepter de les voir
mourir, parce que ces enfants ont leur identité sexuée fixe, c’est leur trésor,
inaliénable, quel que soit le dogme sociétal en vigueur. Ces enfants-là, comme
je l’ai exprimé en ouvrant ce texte, n’on aucun autre choix que d’être eux-mêmes,
ce qu’ils sont dans leur cerveau, ce que la Nature leur a donné, ce que Dieu a
fait. Il incombe à la communauté de les accueillir et soulager leur handicap.
Si j’insiste à propos des enfants ISCP sur leur risque de mourir,
c’est un peu comme l’oiseau en cage se laisse mourir.
Je sais que pour ceux qui ne vivent pas un tel dilemme, il est
difficile de se mettre à la place de ces jeunes enfants, qui dès sept à dix
ans, envisagent très sérieusement que leur seul choix et de ne pas vivre. Se
sentir totalement et exclusivement fille, par exemple, et voir la puberté
approcher, sentir que le corps, comme un cancer, prend le dessus sur soi, qui
on est, sincèrement et de manière indélébile, ça ne peut pas se vivre.
Désespérément, la plupart de ces enfants cherchent leur solution,
souvent l’auto-chirurgie, enfin une tentative de le faire, et comme c’est une
chose désespérée, la seule issue est la mort dans le silence et les larmes.
Les enfants ISCP sont à part, vraiment à part, et on ne peut pas
se permettre de les amalgamer à une idéologie de pseudogenre, où la sexuation
ne serait que culturelle, issue de stéréotypes, et que ces enfants seraient
dans un choix d’attitude, que le pseudogenre se choisirait, comme on enfilerait
un costume ou comme si ces enfants faisaient un gros caprice, ou se prendraient
pour l’autre sexe, comme un délirant se prendrait pour un lapin…
Les enfants ISCP n’ont rien à voir avec tout ça. Ils ne sont pas
des ‘pseudotransgenres’, on ne change pas de sexe, ni par les gonades, ni par
le cerveau.
Le terme ‘trans’ est aussi un fourre-tout conceptuel, un
obscurantisme de plus.
Ce terme laisse croire qu’on peut changer ou se situer dans une
dynamique d’entre deux, une sorte de mobilité du sexe, une mobilité assurément
rêvée.
Les personnes intersexuées le savent, les filles partiellement
ISCP le savent, il est très difficile de faire la paix avec soi-même, quand on
se sait ‘entre les deux’. Pas parce qu’on pourrait pencher du côté qu’on
choisirait, mais justement parce qu’on est pas dans le choix : Ces
personnes sont là dans la réalité de leur être, qui est d’être différent, pas
comme tout le monde, et de ne pas pouvoir choisir, ni d’être femme, ni d’être
homme, ni même de pouvoir mentaliser d’être entre les deux.
Etre seul de son espèce, ça n’est jamais facile, il faut trouver
son propre chemin, sa propre intelligence, sa propre façon d’être au monde,
sans modèle possible.
Ça, l’idéologie du pseudogenre n’en parle pas, n’est pas en état
de gommer la Nature, et même si c’était le cas, cela ne résoudrait pas la
situation de ces personnes. La plupart des personnes intersexuées s’intègreront
dans leur originalité à ce monde, tel qu’il est, sexué, chacun suivant son
chemin de manière originale, et c’est très bien ainsi. Dieu n’a pas créé l’humain
uniforme, et d’un autre point de vue, la Nature a fait chaque être différent.
Je pense qu’il ne faut pas avoir peur de s’affirmer comme on est,
avec ses originalités, sans en faire un plat. Il faut rester face aux autres
dans l’expression du réel, de la lumière du jour, de la beauté du monde, suivre
son chemin propre, et puis découvrir aussi que tout n’est pas sexué, que l’humanité
a en commun bien plus que ses différences.
Les enfants et les adultes ISCP n’ont pas ce souci : Ils
savent quel est leur sexe, celui de leur cerveau, et ça, depuis leur âge le
plus tendre.
Une fois leur sexe reconnu par leurs proches, la médecine, leur
corps réparé, leur naissance rétablie, ils vivent leur vie au soleil de la vie,
unifiés et entiers.
Le problème des enfants et jeunes adultes en trouble psychologique
de l’identité sexuée, j’insiste souvent pour qu’on prenne conscience, que ce
sont des enfants qui s’ils ne sont pas écoutés par des professionnels de la
santé, fourniront les candidats adultes au pseudotransgenre, et au syndrome de
transsexualisme, c’est-à-dire à la chimère de croire que l’on peut changer de
sexe.
Pour finir cet article, je rappelle quelques ordres de grandeur
statistiques : Les enfants ISCP, c’est environ 16 naissances par an en France,
une naissance sur 50.000.
Les enfants (essentiellement des garçons), en trouble
psychologique de l’identité sexuée, c’est environ quatre fois plus, mais c’est
un trouble encore plus fréquent à un degré moindre, que les psychologues
rencontrent souvent, et aider la maman suffit parfois à résoudre le trouble de
son garçon.
Les ISCP partielles des filles, on n’a pas de chiffres, parce que
ces filles ne se laissent pas compter, elles ne demandent rien à la médecine,
parfois elles consultent en tant que jeunes adultes, parfois elles s’intègrent
aux stéréotypes homosexuels, par exemple, se disent « bi-sexuelles »,
ce qui est aussi très caractéristique de leur besoin d’exister.
Il y a quelques éléments scientifiques qui tendent à montrer que
la masculinisation partielle du cerveau est liée au contact du bébé in-utero
avec des perturbateurs endocriniens ou des molécules qui imitent l’action des
hormones masculines, sans être neutralisées par la barrière faite aux
androgènes surrénaliens.
Encore une fois, même si ces jeunes femmes, le plus souvent, s’affirment
comme choisissant leur ‘genre’, elles sont en fait intersexuées ISCP, et elles
sont la proie des lobbies, amalgamées et étiquetées dans le bestiaire du
pseudogenre.
Le pseudogenre est un grand pourvoyeur d’étiquettes et de
contre-stéréotypes, il amalgame des gens qui n’ont rien à faire entre eux, et
les divise en catégories, liées à la sexualité et à ce fameux ‘choix’ de ce pseudogenre.
En réalité ces personnes sont toutes peu nombreuses, par rapport à
l’immense majorité de la population, et nombre des personnes concernées
refusent de se fondre dans ces lobbies.
Malgré tout, mondialement, le pseudogenre entre dans la Loi comme
une urgence, une priorité absolue : la misère, la famille, l’emploi, tout
passe au second plan, comme une ombre qui s’étend sur la planète entière, alors
que 98% de la population n’en a rien à faire. Ce sont nos enfants qui sont
visés, eux qu’on déconstruit, eux qu’on cherche à manipuler.
A côté de cela, dans un tout petit coin de la cour des enfants de
nos régions, un enfant ISCP ne sait pas s’il a le droit de vivre, et refuse que
l’on pense de lui ou elle , qu’il est un produit de cette idéologie du
pseudogenre.
Les ISCP n’existent pas, pour ainsi dire, mais on en parle
beaucoup sans rien savoir, mon but est précisément de vous enseigner cette
toute petite réalité sans la loupe médiatique.
Les enfant ISCP sont une naissance sur 50.000, mais on fait des
programmes dans les écoles, qui laisseraient à penser qu’ils sont la norme….
On n’aide pas, pendant ce temps, les enfants en trouble
psychologique de l’identité sexuée, puisque le pseudogenre « est un choix »
…. « Un droit » disent les pseudo « droits sexuels », que l’on
veut nous imposer par la force de la Loi.
Bien entendu, l’amalgame ambiant, même en matière de psychologues
et de psychiatres, ne fait aucune distinction entre enfants ISCP, troubles
psychologiques et masculinisations ISCP partielles de filles, et l’on trouve une
majorité de professionnels pour encenser le pseudogenre comme une vision
progressiste dépsychiatrisée et décomplexée.
C’est criminel, ou pas ? Cela donne encore beaucoup de chirurgies
inutiles et regrettées pour les adultes, et retarde la prise en charge des jeunes
enfants. Avec son lot d’énormes mal-être, de désociabilisations, qui amplifient
les revendications de ‘trans-phobie’
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