samedi 9 décembre 2017

La Force de la Nature

C'est un fait, on nous présente des concepts sans saveur, il faut de notre côté des mets délicieux et naturels !

Un enfant étant soit fille, soit garçon, je sais comment je me détermine depuis toujours, alors on peut me critiquer, me bafouer, je resterai malgré tout, la petite fille que j'ai toujours été !

C'est comme quand on dit "La force de la Nature"....  Personne ne peut changer ce que les enfants ISCP sont, et je sais que plutôt mourir, OK, si je suis si mal faite, je préfère la mort plutôt que mentir sur moi-même. 
C'est bien pour ça que ces enfants risquent la mort, si on ne peut les reconnaître : Vivre pour être soi et ne pas être un monstre.

Cela explique que le pseudogenre soit une abomination, car la sexuation est une immense force naturelle, biologique, adaptative, et même les mammifères, qui pourtant ont évolué séparément de nous, sans la parole, sans la conceptualisation par le langage, répondent à ce sentiment d'être , ce système perceptif, qui permet à une femelle d'être mère, de faire survivre ses petits, et au mâle, parfois et pas toujours, de veiller à la structure de la survie du groupe, particulièrement de veiller à la ‘tribu’ mère-enfants.

Je ne le redirai jamais assez, ce qui justifie que la femme existe est le fait d'être adaptée à être mère. Pas de porter son bébé neuf mois, mais bien de le faire survivre et se développer harmonieusement, des années durant, pour le jeune humain, qui naît prématuré, immature, et qui a à acquérir une somme jamais vue dans le règne animal, de savoirs et de concepts, propulsés par la puissance du langage, baigné de spiritualité.

La création mortifère d'idéologies dogmatiques et obscurantistes, est le pseudogenre que je dénonce, d'abord le ‘gender’ en tant que "sexe d'élevage", ensuite les ‘gender-studies’ , qui ont créé un monstre anti-maternel, qui soi-disant libérait la 'femme' de sa condition de devoir porter la vie dans son ventre, et pour finir, l'appropriation, dans les années 2000, par les mouvement homosexuels issus du financement SIDA, des travestis et autres dits 'transsexuels', amalgamés à un comportement sexuel, amalgamés à une soi-disant 'phobie' des gens se revendiquant 'différents'.

En réalité, ces mouvements homosexuels se sont centrés sur le comportement sexuel, sur ses risques, ses déviances, en amalgamant, en dévorant tout mouvement qui pouvait venir grossir l'illusion de leur idéologie de la phobie, et de la négation de la naturalité de la sexuation. Ici, je ne juge pas les personnes homosexuelles, mais de puissants lobbies, et de faux scientifiques, qui ont été outrageusement publiés en masse, traduits, comme le sont les gender-studies, les thèses sociologiques, mises constamment en avant, sans aucune base en matière de psychologie individuelle, comme un fait sociétal, totalement disjoint de la réalité des sexes.

Le pseudogenre, est venu amalgamer des vécus rares, de personnes suivies médicalement, en imposant à priori le dogme de la liberté de 'choisir son sexe'.
Comme un faux printemps, le pseudogenre a allumé des feux dans la nuit en les déclarant lumière solaire, mais rien ne pousse, car au contraire, le dogme de l'abomination des stéréotypes sexués, se heurte à la réalité naturelle et à la force de l'immense majorité de la population, qui se sent sexuée de manière naturelle, et qui refuse de se laisser englober dans ce dogme obscurantiste.

Il s'agit bien d'obscurantisme et de dogme à propos de l'idéologie du pseudogenre, pas de progressisme.
Obscurantisme, car l'identité sexuée, qui est le seul vocable appuyé scientifiquement à l'échelon individuel, en matière de psychologie de l'enfant, est liée à la sexuation du cerveau in-utero, et s'étaye dès la naissance jusqu’à environ trois ans pour la fille, sur la personne identique, justement.
La petite fille se sent identique à sa maman, le petit garçon se sent identique à son papa, nous naissons structurellement sexués, et notre identité en est une conséquence.

Dogme, parce que cette idéologie nocturne, on le voit, est destinée à détruire la femme en tant que mère et à détruire la spiritualité, en luttant frontalement contre les religions. Un dogme, contre d'autres dogmes. L'idéologie du pseudogenre entre dans la Loi des Etats, et devient religion d'Etat, sans qu'il soit possible de rétablir la réalité. Il est déjà prévu, au Canada, pour les services sociaux, de retirer leur enfant, aux parents qui s'opposeront au pseudo-choix-de-genre de cet enfant, la raison religieuse ne pourra être retenue.
On voit donc bien apparaître un dogme obscurantiste, qui fait prendre des vessies pour des lanternes, éclairant la nuit dans laquelle on veut nous plonger.

L’amalgame est présent dès les années 60. L’identité sexuée ne dépend pas du ‘sexe d’élevage’ ou de ‘stéréotypes’ de ‘genre’.
L’idée que l’éducation serait uniquement comportementale, qu’elle serait un dressage, est bien en parallèle avec cette idéologie politique du pseudogenre. On voit bien, dans les politiques d’égalité filles-garçons, que la méthode employée est comportementale : On réunit les enfants par petits groupes et l’on fait une autocritique publique de son savoir d’enfant, quant à l’idéologie que le dominant va présenter comme le savoir minimum sur la pratique sexuelle, et sur ce pseudogenre, qui va venir tenter de rompre les certitudes de l’enfant.
L’idéologie du pseudogenre, croit donc dresser les enfants, corriger leur comportement, par des méthodes de manipulation mentale, en inversant les croyances de l’enfant, en ‘déconstruisant’ ce qu’ils disent être des stéréotypes, en réalité, les fondements de l’identité de l’enfant.

La méthode, je ne sais pas si vous vous en rendez compte, est apparentée à une tentative de laver le cerveau, de faire ‘croire’ à un monde virtuel, où l’on pourrait ainsi ‘changer de sexe’, y compris physiquement, et où à tout le moins, on pourrait se détourner de la réalité corporelle et se choisir une sorte d’avatar, comme d’ailleurs cela se fait déjà dans les jeux vidéos, où l’on peut se créer un personnage de l’autres sexe, et partir ainsi travesti(e) sur les réseaux en ligne, vivre une fausse vie (les feux allumés dans la nuit par les lobbies du pseudogenre) avec bien entendu une perte du sens de la réalité, qui se sent immédiatement dans le discours de ces jeunes, qui savent que leur personnage n’est pas vrai, mais qui trouveront alors naturel de se choisir un ‘genre’ dans la vraie vie, à contre courant de leur identité sexuée, qui elle, est réelle, et fixée pour la vie entière.

Je le dis très souvent, on devient femme et mère, parce qu’on est née fille.
Jamais un garçon ne deviendra fille si son identité sexuée est d’être garçon.

Les cas qui se présentent, sont, soit que le garçon est piétiné psychologiquement dans son identité de garçon, pourtant bien réelle, et c’est un trouble psychologique, soit que nous sommes en présence d’une fille bien réelle de par la sexuation biologique de son cerveau, intersexuée en regard de la présence de gonades masculines malgré tout bien réelles, ou même corporellement intersexuées.

D’autres particularités existent, comme l’ISCP partielle des petites filles, qui est biologique, et qui ne mène pas à un sentiment d’inversion de la sexuation de l’identité, mais à un sentiment trouble de ne jamais être à sa place.

Leur suivi est nécessairement médical, ces personnes ont le droit d’être aidées, d’une manière ou d’une autre.
En aucun cas il ne s’agit d’un groupe sociétal lié au pseudogenre . En aucun cas, il s’agit d’une communauté, et il ne s’agit pas d’en débattre de manière sociétale.

Quand il s’agit d’une particularité de naissance ISCP (évitons de dire ‘anomalie’, s’il vous plaît) qui est structurelle et biologique, il faut accompagner ces enfants en réduisant leur handicap, ou accepter de les voir mourir, parce que ces enfants ont leur identité sexuée fixe, c’est leur trésor, inaliénable, quel que soit le dogme sociétal en vigueur. Ces enfants-là, comme je l’ai exprimé en ouvrant ce texte, n’on aucun autre choix que d’être eux-mêmes, ce qu’ils sont dans leur cerveau, ce que la Nature leur a donné, ce que Dieu a fait. Il incombe à la communauté de les accueillir et soulager leur handicap.
Si j’insiste à propos des enfants ISCP sur leur risque de mourir, c’est un peu comme l’oiseau en cage se laisse mourir.

Je sais que pour ceux qui ne vivent pas un tel dilemme, il est difficile de se mettre à la place de ces jeunes enfants, qui dès sept à dix ans, envisagent très sérieusement que leur seul choix et de ne pas vivre. Se sentir totalement et exclusivement fille, par exemple, et voir la puberté approcher, sentir que le corps, comme un cancer, prend le dessus sur soi, qui on est, sincèrement et de manière indélébile, ça ne peut pas se vivre.
Désespérément, la plupart de ces enfants cherchent leur solution, souvent l’auto-chirurgie, enfin une tentative de le faire, et comme c’est une chose désespérée, la seule issue est la mort dans le silence et les larmes.
Les enfants ISCP sont à part, vraiment à part, et on ne peut pas se permettre de les amalgamer à une idéologie de pseudogenre, où la sexuation ne serait que culturelle, issue de stéréotypes, et que ces enfants seraient dans un choix d’attitude, que le pseudogenre se choisirait, comme on enfilerait un costume ou comme si ces enfants faisaient un gros caprice, ou se prendraient pour l’autre sexe, comme un délirant se prendrait pour un lapin…
Les enfants ISCP n’ont rien à voir avec tout ça. Ils ne sont pas des ‘pseudotransgenres’, on ne change pas de sexe, ni par les gonades, ni par le cerveau.
Le terme ‘trans’ est aussi un fourre-tout conceptuel, un obscurantisme de plus.
Ce terme laisse croire qu’on peut changer ou se situer dans une dynamique d’entre deux, une sorte de mobilité du sexe, une mobilité assurément rêvée.

Les personnes intersexuées le savent, les filles partiellement ISCP le savent, il est très difficile de faire la paix avec soi-même, quand on se sait ‘entre les deux’. Pas parce qu’on pourrait pencher du côté qu’on choisirait, mais justement parce qu’on est pas dans le choix : Ces personnes sont là dans la réalité de leur être, qui est d’être différent, pas comme tout le monde, et de ne pas pouvoir choisir, ni d’être femme, ni d’être homme, ni même de pouvoir mentaliser d’être entre les deux.
Etre seul de son espèce, ça n’est jamais facile, il faut trouver son propre chemin, sa propre intelligence, sa propre façon d’être au monde, sans modèle possible.

Ça, l’idéologie du pseudogenre n’en parle pas, n’est pas en état de gommer la Nature, et même si c’était le cas, cela ne résoudrait pas la situation de ces personnes. La plupart des personnes intersexuées s’intègreront dans leur originalité à ce monde, tel qu’il est, sexué, chacun suivant son chemin de manière originale, et c’est très bien ainsi. Dieu n’a pas créé l’humain uniforme, et d’un autre point de vue, la Nature a fait chaque être différent.
Je pense qu’il ne faut pas avoir peur de s’affirmer comme on est, avec ses originalités, sans en faire un plat. Il faut rester face aux autres dans l’expression du réel, de la lumière du jour, de la beauté du monde, suivre son chemin propre, et puis découvrir aussi que tout n’est pas sexué, que l’humanité a en commun bien plus que ses différences.

Les enfants et les adultes ISCP n’ont pas ce souci : Ils savent quel est leur sexe, celui de leur cerveau, et ça, depuis leur âge le plus tendre.
Une fois leur sexe reconnu par leurs proches, la médecine, leur corps réparé, leur naissance rétablie, ils vivent leur vie au soleil de la vie, unifiés et entiers.

Le problème des enfants et jeunes adultes en trouble psychologique de l’identité sexuée, j’insiste souvent pour qu’on prenne conscience, que ce sont des enfants qui s’ils ne sont pas écoutés par des professionnels de la santé, fourniront les candidats adultes au pseudotransgenre, et au syndrome de transsexualisme, c’est-à-dire à la chimère de croire que l’on peut changer de sexe.

Pour finir cet article, je rappelle quelques ordres de grandeur statistiques : Les enfants ISCP, c’est environ 16 naissances par an en France, une naissance sur 50.000.

Les enfants (essentiellement des garçons), en trouble psychologique de l’identité sexuée, c’est environ quatre fois plus, mais c’est un trouble encore plus fréquent à un degré moindre, que les psychologues rencontrent souvent, et aider la maman suffit parfois à résoudre le trouble de son garçon.

Les ISCP partielles des filles, on n’a pas de chiffres, parce que ces filles ne se laissent pas compter, elles ne demandent rien à la médecine, parfois elles consultent en tant que jeunes adultes, parfois elles s’intègrent aux stéréotypes homosexuels, par exemple, se disent « bi-sexuelles », ce qui est aussi très caractéristique de leur besoin d’exister.
Il y a quelques éléments scientifiques qui tendent à montrer que la masculinisation partielle du cerveau est liée au contact du bébé in-utero avec des perturbateurs endocriniens ou des molécules qui imitent l’action des hormones masculines, sans être neutralisées par la barrière faite aux androgènes surrénaliens.
Encore une fois, même si ces jeunes femmes, le plus souvent, s’affirment comme choisissant leur ‘genre’, elles sont en fait intersexuées ISCP, et elles sont la proie des lobbies, amalgamées et étiquetées dans le bestiaire du pseudogenre.

Le pseudogenre est un grand pourvoyeur d’étiquettes et de contre-stéréotypes, il amalgame des gens qui n’ont rien à faire entre eux, et les divise en catégories, liées à la sexualité et à ce fameux ‘choix’ de ce pseudogenre.

En réalité ces personnes sont toutes peu nombreuses, par rapport à l’immense majorité de la population, et nombre des personnes concernées refusent de se fondre dans ces lobbies.
Malgré tout, mondialement, le pseudogenre entre dans la Loi comme une urgence, une priorité absolue : la misère, la famille, l’emploi, tout passe au second plan, comme une ombre qui s’étend sur la planète entière, alors que 98% de la population n’en a rien à faire. Ce sont nos enfants qui sont visés, eux qu’on déconstruit, eux qu’on cherche à manipuler.
A côté de cela, dans un tout petit coin de la cour des enfants de nos régions, un enfant ISCP ne sait pas s’il a le droit de vivre, et refuse que l’on pense de lui ou elle , qu’il est un produit de cette idéologie du pseudogenre.
Les ISCP n’existent pas, pour ainsi dire, mais on en parle beaucoup sans rien savoir, mon but est précisément de vous enseigner cette toute petite réalité  sans la loupe médiatique.
Les enfant ISCP sont une naissance sur 50.000, mais on fait des programmes dans les écoles, qui laisseraient à penser qu’ils sont la norme….

On n’aide pas, pendant ce temps, les enfants en trouble psychologique de l’identité sexuée, puisque le pseudogenre « est un choix » …. « Un droit » disent les pseudo « droits sexuels », que l’on veut nous imposer par la force de la Loi.

Bien entendu, l’amalgame ambiant, même en matière de psychologues et de psychiatres, ne fait aucune distinction entre enfants ISCP, troubles psychologiques et masculinisations ISCP partielles de filles, et l’on trouve une majorité de professionnels pour encenser le pseudogenre comme une vision progressiste dépsychiatrisée et décomplexée.  C’est criminel, ou pas ? Cela donne encore beaucoup de chirurgies inutiles et regrettées pour les adultes, et retarde la prise en charge des jeunes enfants. Avec son lot d’énormes mal-être, de désociabilisations, qui amplifient les revendications de ‘trans-phobie’





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