vendredi 15 décembre 2017

Isabelle





Isabelle, une fille ISCP, dans sa vie au quotidien.



J'ai sélectionné les extraits de ce reportage qui correspondent au témoignage de cette jeune fille, de ses parents, de ces médecins et de l'école. J'en ai retiré les récupérations idéologiques à propos du pseudogenre, et de fait, voilà un petit moment assez reposant à essayer de mieux connaître et comprendre les enfants ISCP.



Désolée, cette vidéo  est en Anglais australien, elle n'est pas encore sous-titrée, cela viendra prochainement. C'est une vidéo que j'aime beaucoup, une famille simple sans toxicité aucune, une petite fille et sa soeur.



L'ISCP n'est pas si complexe et difficile que l'on veut bien la présenter.



Je voudrais que cette vidéo soit vue par les dirigeants de ce monde, à l'Est comme à l'Ouest, car ces enfants n'ont rien à voir avec l'idéologie du pseudogenre, et ne sont pas les pseudotrangenres qu'on voudrait qu'ils soient pour justifier une idéologie mortifère.



En retour, j'espère que chacun comprendra que ces enfants, comme tous les autres, doivent être protégées à la fois de ces idéologies de 'genre', mais aussi protégés des réactions que l'on veut exercer contre eux au nom de la lutte contre ces mêmes idéologies mortifères.



Ces enfants ne font pas partie de ces idéologies, bien au contraire, ils démontrent au quotidien qu'ils sont comme tout autre enfant, qui espère vivre heureux, au milieu d'un monde sain et respectant la Nature, humaine autant que celle de la création.

Ces enfants montrent que le pseudogenre n'a aucun fondement sociétal, ni psychologique, sans ces enfants dans leur amalgame féministe radical, qui nie la sexuation naturelle.



Ces enfants n'ont rien à voir avec la prétendue libération de la femme, qui nie la maternalité, nie la famille, la complémentarité des deux sexes dans l'altérité et le respect de la différence.



Si ces enfants montrent qu'ils sont profondément d'un sexe, c'est bien parce que le sexe est ancré en nous, de naissance et à vie.

Dans ce reportage, on sent bien que point n'est besoin de construire de grandes théories pour ces enfants si simples, qu'il parviennent à s'intégrer à l'école en tant qu'eux mêmes, à vivre leur propre vie comme tout enfant la vit, fier et sûr de sa sexuation.

Ce ne sont pas les enfants ISCP qui posent problème: Ce sont les lobbies du genre, avec leur idéologie malsaine et leurs étiquettes posées sur des enfants qui ne les demandent pas.



En retirant du témoignage, les réitérations de la journaliste, qui rapportait toujours la question à l'idéologie sociétale made in USA, j'ai ressenti aussitôt l'apaisement de ce reportage, débarrassé des 'trangender', des 'coming-out', des 'choix de 'genre', du recouvrement du vocabulaire très neutre des médecins, pour y superposer un ton idéologique militant, qui devient très courant dans les médias.



Ces enfants sont trop simples, ils sont banals, ils ne sont pas croustillants, alors les journalistes-militants, veillent à bien employer les termes vendeurs, tant à destination du public qui en est friand, que de leurs employeurs des médias mainstream.



Sans doute aussi, ces journalistes-femmes, sont des militantes de l'idéologie du pseudogenre, et elles essaient de faire assimiler au spectateur cette idéologie comme un fait acquis.



Elles sont alors les principales pourvoyeuses de l'amalgame de ces enfants, un amalgame honteux, inadmissible, qui tente de justifier ces idéologies imposées par leur minorité militante mortifère.

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